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Une guidance qui ne passe pas par la paroles mais par l’écoute réfléchie La voyance par mail plaît à de plus en plus de nos semblables parce qu’elle laisse place à une forme de parcours qui n’est pas de l’éloignement, mais de la justesse. On n’est pas interrompu, on n’est pas obligé de proférer, on ne subit pas le rythme d’un dialogue imposé. Ce que offre ce format, cela vient un échange lent, texte, mais d’une forte masse. Le envoyant écrit sa question. Il prend le faits, parfois plusieurs heures, parfois de multiples journées. Il choisit les mots, ou au antithétique les jette comme par exemple ils viennent. Il n’y a pas de grande ou de peu glorieuse mode de pratiquer. Ce qui compte, on a que des attributs se dépose. Et dans cette devoir déjà, un mouvement s’engage. Le voyant, lui, reçoit ce texte brut. Il le lit attentionnément, perçoit les angles morts, les peurs, ce qui a été présenté ou contourné. Puis il entre dans la lecture. Par tirage, par ressenti, par perception en direct. Ce qu’il renvoie après, ce n’est pas une synthèse. C’est une solution sincère, en harmonie avec ses besoins, rédigée dans le même calme que celui où la question est issue. Et ce silence-là n’est pas vide. Il est fécond. Il permet une voix qui va droit au foyer, sans subterfuge, sans flatterie.

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Une consultation à distance, mais jamais à côté La chevauchée sportive ne suggère pas forcément une traite psychique. La relation en est avec la voyance par mail, qui offre la possibilité la plupart du temps une profondeur de voyance insoupçonnée. On est en capacité de imaginer qu’écrire un problème et recevoir un contact écrite éloigne un pont, l’humanise moins. C’est faux. Parce que dans ce format-là, tout est plus vigilant. Pas de bavardage, pas de plein. On va droit au cœur. Le relevant écrit ceci étant du à son style, avec ses signaux. Ce qu’il présenté, et aussi ce qu’il n'implique pas, forme déjà une trame perceptible. Le voyant, lui, entre dans cette matière avec attention, perçoit ce qui se joue à la suite les signaux. Il tire parfois des cartes, parfois non. Il capte. Et il écrit. Ce qu’il renvoie, ce n’est pas un contact vide ou indistinct. C’est une voyance posée, construite, spéciale. Une lecture qui ne se limite pas à répondre à la lettre, mais qui entre dans le fond. Et cela, sans jamais afficher ni corriger.